À la maison ou à l’école

Apprendre à lire devient un jeu d'enfant

La méthode de lecture innovante et ludique pour un apprentissage de la lecture sans échecs

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De la Grande Section au CE1

Une offre hybride pour l'apprentissage de la lecture

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Graphonémo Numérique

L’application ludique Graphonémo sollicite la curiosité de l’enfant, le rend actif et maintient son intérêt tout au long de son apprentissage.

Graphonémo Papier-Crayon

En ateliers autonomes ou avec l’enseignant, la méthode Graphonémo Papier Crayon s’utilise facilement. Les enfants progressent à leur rythme !

Avec Graphonémo

L'enfant apprend à lire partout

Apprendre à lire à l'école

L’application Graphonémo est compatible avec toutes les méthodes de lecture. Elle respecte la liberté pédagogique de chaque enseignant et s’intègre parfaitement au sein des classes pour des séances en atelier.

Apprendre à la maison

Avec ce serious-game, vous pourrez suivre et encourager les progrès de votre enfant tout en ayant l’assurance d’utiliser une méthode pédagogique conforme aux recommandations de l’Education Nationale.

Comment utiliser Graphonémo si je suis...

4 tâches pour permettre à l'enfant
de bien débuter l'apprentissage de la langue française

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La discrimination lettre / son

Pour percevoir le lien
entre la lettre et le son.

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La suppression syllabique

Pour retrouver une syllabe
et le son correspondant.

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La segmentation des syllabes

Afin d’appréhender les mots dans leur globalité, pour les identifier syllabe par syllabe.

L'écriture de mots

L’écriture et la lecture s’enrichissent l’une de l’autre

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Testez l’application gratuitement en téléchargement direct depuis les stores

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Télécharger l'application d'apprentissage de la lecture Graphonémo

   

Ils utilisent Graphonémo

Ils ont utilisé Graphonémo pour l'apprentissage de la lecture

Magik Eduk, créateur de Graphonémo, lutte contre l’illettrisme

de la maternelle à l’âge adulte

magik-eduk-approche-hybride

En proposant une approche hybride dans ses méthodes

magik-eduk-expertise-pédagogique

En mettant le numérique au service de l’expertise pédagogique

magik-eduk-intelligence-artificielle

En utilisant une intelligence artificielle pilotée par les sciences cognitives

Apprendre à lire, c'est facile ?

Notre langue écrite est-elle simple ? Pas vraiment !

Le principe alphabétique :

Notre langue écrite repose sur 4 principes, le premier et le principal c’est le principe alphabétique.
Le principe alphabétique consiste à faire correspondre les lettres et les sons. Pour nous lecteurs cela paraît simplissime ! Mais pour les enfants, beaucoup moins. En effet, ce qu’on appelle les sons (pour faire vite) se nomment : « phonèmes ». Le phonème c’est ce tout petit bruit, pas toujours facile à percevoir, qui va faire que le mot, avec un changement minime, va devenir tout autre : touche/douche, main/pain, coule/coûte… C’est là le secret de l’histoire. Mais pour le découvrir, il faut du temps, des mots, beaucoup de mots (dits et entendus) une bonne qualité de perception, (des bonnes oreilles !) mais aussi un moulinage cérébral qui va permettre de savoir que dans « maman », par exemple, il va falloir coder non pas deux bruits (le bruit « ma » et le bruit « man ») mais quatre : [M][A][M][AN]. Cette découverte ne se fait pas comme ça : elle ne peut se faire qu’en présence de la langue écrite. Ce n’est qu’avec des mots écrits, dans un va-et-vient entre le vu et l’entendu, que les enfants vont pouvoir saisir que la syllabe, unité orale familière (les enfants parviennent facilement à découper un mot en syllabe à l’oral), est composée d’unités plus petites (ces fameux phonèmes) et que ce sont eux qu’il va falloir « transformer » en lettres. Et cela ce n’est pas rien c’est « BEAUCOUP » = 2 syllabes, 4 phonèmes, et 8 lettres !

Le code alphabétique :

Quand on entend [I] on écrit « i » ! Comme cela ce serait parfait ! Mais il existe 36 sons différents dans la langue française, 36 sons qu’il va falloir écrire mais avec seulement 26 lettres. En conséquence on va se servir des mêmes lettres pour écrire des sons différents, et c’est ainsi qu’avec la lettre « a » on va pouvoir fabriquer de quoi coder les sons [AN ], [AI ], [AU ], [ AIN] … De plus, nous avons la malchance d’avoir un système « opaque » ou « irrégulier ». Par exemple la lettre « s » qui est là pour le bruit [S] peut se dire [Z] si elle est placée entre deux voyelles. Ou encore, pour le bruit [O] on a le choix entre les lettres « o », « au » ou « eau ». Pour couronner le tout nous avons également le privilège d’avoir des petits signes (« diacritiques ») qui peuvent aussi changer bien des choses comme l’accent, la cédille, le tréma… A ce principe alphabétique correspond donc un code qui n’est donc pas si simple que ça !
Mais ce n’est pas tout ! notre langue est également pourvue d’un principe morphogrammique : un mot bien long pour désigner tout bêtement les marques du pluriel par exemple, comme les « s », les « x » les « ent » qui ne s’oralisent pas mais qui renseignent quand même, tout comme les lettres en fin de mot qui ne s’entendent pas non plus mais qui vont servir à former le mot au féminin, comme le « d » de la fin de « lourd », le « t » de la fin de « fort »… Bref, ça se complique…
Mais ce n’est pas fini ! Nous avons des mots qui se disent pareil mais qui ne désignent pas les même choses, alors nous avons trouvé bien malin pour les distinguer de les écrire différemment : sot/seau, pin/pain, pot/peau etc… (principe logogrammique). Mais voilà qui ne simplifie rien !
Et sans oublier les majuscules, les traits d’union, les apostrophes et notre merveilleuse ponctuation. (principe extra alphabétique).

Comprendre comment ça marche

Pour aider l’enfant à apprendre à lire il convient de lui présenter des situations d’apprentissage qui prennent la forme de résolution de problèmes linguistiques. Pour qu’il saisisse toutes les subtilités de la langue écrite on ne peut pas se contenter de lui faire répéter que « b » et « a », ça fait « ba », parce que, tout simplement, ce n’est pas vrai ! En revanche lui demander d’écrire lui même (comme il pense que cela peut bien s’écrire) un vrai mot, c’est le mettre réellement face à la complexité de notre langue. De la même façon, lui faire décomposer un vrai mot écrit en syllabes c’est l’aider à comprendre les irrégularités de notre code alphabétique et c’est non seulement l’aider à lire mais aussi l’aider à orthographier. En comprenant comment notre système est composé, les enfants pourront se l’approprier.
Aujourd’hui nous savons que la méthode syllabique est la méthode pour apprendre à lire. Alors, tentons de faire comprendre la syllabe et les signes qui la composent ! Mettons notre apprenti à la tâche, montrons lui le vrai matériel, les vrais outils, et installons le chantier ! C’est lui qui va chercher, c’est lui qui va trouver.

Et apprendre le code alphabétique

C’est parce qu’il aura compris comment ça marche qu’il pourra mémoriser les régularités mais aussi les irrégularités de la langue écrite. Alors, là oui, on pourra passer à l’entraînement ! D’abord comprendre, ensuite apprendre !